Forum Fribourg, un Outil performant.

La ville des comtes de Zaehringen, fondée en 1147, est au cœur d'une région et sur le fameux Roestigraben.
De part sa culture francophone en lutte permanente contre la poussée zurichoise, cette cité joue un rôle important entre les deux cultures principales de l'Helvétie. C'est là que l'onde de choc produit son impact. Si la culture française recule, Fribourg perd toute identité et devient un village alémanique, un quartier périphérique de Berne. 

Si la culture alémanique est exclue, Fribourg sera un verrou et perdra sa fonction de pont. Le dilemme a une seule solution, l'affirmation forte de l'identité romande mais la capacité de dialogue avec la partie alémanique, sur un plan d'égalité. En fait Fribourg doit se gonfler tel un paon et se faire admirer sous toutes ses couleurs, sa diversité et sa grandeur, en affirmant fortement son identité latine. Pour prendre sa place de Roestipont*, Fribourg en Nuithonie possède maintenant un outil performant: Forum Fribourg. Directement sur l'autoroute E27 / A12, à 90 minutes de Zurich, 20 de Berne, 60 de Lausanne, 90 de Genève et 50 de Neuchâtel et Bienne.

Ce nouveau centre d'expositions et de congrès est au centre d'une région en mouvement, en Suisse. A part la Foire de Fribourg et les manifestations épisodiques dans le sport, les spectacles et les rencontres politico-scientifico-culturelles, il faudra créer des salons phares et inédits. Nous attendons vos suggestions sur le site de Forum Fribourg www.forum-fribourg.ch, c'est plus de 15'000 m2 d'exposition modulables avec tous les services et prestations modernes que l'on doit trouver dans un centre régional aux visées internationales. Si vous avez de l'intérêt, un projet en développement, une manifestation qui cherche un site, appelez m. Claude Membrez, membre de notre association, au 026 / 467 20 00, fax 026 / 467 21 00.

*Roestipont a été créé en 1991 et souhaite affirmer l'identité latine de l'Helvétie afin que notre pays garde toute sa force et retrouve la vitalité perdue ces 10 dernières années. Nous voulons convaincre les alémaniques que, sans nous, ils n'existeraient pas. Sans eux, nous non plus, mais notre langue est reconnue à l'ONU, ce qui n'est pas encore le cas du Schwizertütsch ou du Züritütsch.