_ No 20 - printemps 2009 Print

la maladie n’est Pas une fatalité, tout repose sur l’atlas

En première mondiale, R.-C. Schümperli l’affirme et le prouve

Le phénomène ne manque pas de surprendre : la majorité des êtres hu- mains est touchée par une mauvaise position de l’atlas, la première de nos vertèbres cervicales. Selon R.-C. Schümperli, on est loin de l’approximation et de nombreux témoignages et autres reconnaissances scientifiques le confirment, même si, pour des raisons qui pourraient perturber certaines pratiques ou conventions, elles ont peine à franchir le seuil des vérités académiques. Pourtant une évidence s’impose, le déséquilibre de cette vertèbre provoque un rétrécissement important du conduit réservé à la moelle épinière, aux nerfs crâniens et aux sillons nerveux qui se trouvent comprimés en permanence et qui, de ce fait, ne peuvent pas laisser circuler librement et efficacement les flux et énergies auxquels ils sont destinés. Parallèlement, les artères vertébrales ou autres, la carotide et d’autres vaisseaux subissent une pression permanente qui limite, voire compromet irrémédiablement leur fonctionnement idéal prévu par la nature. Nul n’est besoin d’être sorcier pour comprendre que ce manque de disponibilité circulatoire peut provoquer une altération dans l’accomplissement des fonctions basiques qui, générées à partir du cerveau, dirigent tout le fonctionnement de l’organisme, tant sur le plan physique que psychique.

 

Il aura fallu attendre 1993 pour que R.-C. Schümperli mette en valeur cette évidence: «l’atlas déboîté est la cau- se principale de la majorité des malaises et maladies de nature psychique et physique dont souffre l’humanité». Il l’affirme et de nombreux témoignages le prouvent par centaines de milliers en provenance du monde entier: on peut maintenant y remédier. Son livre La Libération, traduit en de nombreuses langues, est en passe de devenir un véritable best-seller. Au départ, il y a eu le constat. Puis un travail acharné pour découvrir la méthode qui permettrait de remettre dans sa bonne position cette vertèbre. Un chemin de vie souvent douloureux pour le découvreur. Il en est résulté une méthode unique au monde sous le label AtlasPRO- filax® qui se complète par un appareil breveté permettant le repositionnement de l’atlas avec précision, sans danger et définitivement, en une seule séance. Une pratique strictement non médicale. Depuis sa découverte, R.-C. Schümperli a dû faire face, dans le monde entier, à de plus en plus de demandes que ce soit au niveau de l’application ou de la formation de nouveaux utilisateurs de la méthode. Selon son éthique personnelle, il n’a jamais été question de banaliser la chose en laissant la possibilité à n’importe qui de pratiquer la méthode AtlasPROfilax® qu’il a mise au point. C’est donc sous sa compétence que sont formés et supervisés en permanence les prati- ciens porteurs de l’appellation «AtlasProf® diplômé». R.-C. Schümperli n’est pas un gourou, ni un sorcier. Pas plus qu’un professeur. Sa découverte et sa démarche visent à une simple application tout à fait naturelle qui ne relève en rien de la médecine, sans diagnostic, sans opération ni prise de produits d’accom- pagnement quelconque. Par contre, il est hors de question pour lui que les praticiens de la méthode s’écartent du concept de départ: «supprimer la cause primaire de la majorité des maladies et souffrances. C’est le droit de chacun de vivre avec l’atlas à sa juste place, ce qui lui permet d’être en bonne santé et de pouvoir fonctionner en conformité avec les lois humaines qui nous régissent.» Dès lors, les Atlasprofs® qui exercent dans le monde sont soigneusement sélectionnés, formés et suivis sous sa compétence. Autre aspect important de la démarche, R.-C. Schümperli apporte une importance toute particulière au fait que le traitement doit être accessible à chacun financièrement parlant. L’histoire d’une découverte D ans son ouvrage La Libération, R.-C. Schümperli explique la genèse de sa découverte et le sens de sa démarche qui se veut aussi humaniste, tout le monde ayant droit au mieux être et à la santé. D’autant que cela est possible désormais sans contre indication particulière, par le simple repositionnement de l’atlas. Tout est parti de Sierre, en Valais / Suisse, où il est établi et qui est le siège international d’AtlasPROfilax® et de l’AtlasPROfilax Academy Switzerland® qui regroupe tous les praticiens agréés répertoriés sur le site www.atlasprofilax.com. Ace jour, la méthode est appliquée dans le monde entier et des centaines de milliers de personnes en ont déjà bénéficié sans qu’aucun dégât ne soit constaté qui aurait pu faire l’objet d’une plainte péna- lisée par la justice. Certes, il y a ici une approche qui peut être dérangeante pour les tenants de la médecine traditionnelle. Mais si, en définitive, cette dernière n’était pas passée, par ignorance, à côté d’une évidence purement physiologique?

R.-C. Schümperli ne se porte pas en «concurrent» et souhaite, bien au contraire, que les thérapeutes traditionnels appli- quent sa méthode, comme c’est déjà le cas dans de nombreux exemples. Il affirme tout simplement qu’il existe une alternative efficace et moins coûteuse au travers de sa découverte. Même de grandes compa- gnies d’assurances le rejoignent actuelle- ment, conscientes de la réalité des faits et des opportunités économiques dans le domaine des coûts de la santé. U ne compagnie d’assurances a conclu un contrat collectif de responsa- bilité civile avec tous les atlasprofs® européens! Une affaire de professionnels Le développement mondial de la métho- de AtlasPROfilax® n’a évidemment pas manqué de susciter l’intérêt de personnes incompétentes ou mal intentionnées pré- tendant pouvoir repositionner l’atlas en utilisant des méthodes non adaptées ou copiées de celles de R.-C. Schümperli. Il en est résulté des interventions malheureuses, dangereuses ou dommageables. Seuls les atlasprofs® diplômés, référencés par l’AtlasPROfilax Academy Switzerland® sont en mesure d’assurer une intervention sans danger selon la méthode découverte et mise au point par R.-C. Schümperli. Attention danger: confier sa nuque ou son atlas à une personne incompétente peut se révéler catastrophique et, mal- heureusement, des exemples existent à cet égard. Une application à tous les stades de la vie I l serait utopique de penser que le repositionnement de l’atlas pourrait réparer des maux irréversibles causés par l’usure ou l’atrophie. Par contre, des résultats probants ont été enregistrés s’agissant de cas de fibromyalgie, d’Alzeimer ou de Parkinson. Là encore, il s’agit de rétablir le bon fonctionnement mécanique et physiologique en rétablissant le couloir obstrué ou comprimé par une mauvaise position de l’atlas. Pas plus compliqué que ça. Plus représentatif encore, il est attesté qu’une future maman disposant d’un atlas bien positionné donnera naissance à un enfant présentant un atlas correctement emboîté, apte dès lors à aborder la vie dans les meilleurs conditions de santé et d’équilibre. L’avenir En l’état actuel des choses, la vision est claire: il faut absolument, selon R.-C. Schümperli, que l’humanité tout entière puisse bénéficier des bienfaits de la mé- thode, chacun ayant le droit fondamental à une existence en santé psychique et physique. Dans ce sens, il est fait appel aux thérapeutes afin qu’ils se forment à l’application AtlasPROfilax® pour pouvoir en faire bénéficier leurs patients. Dans l’esprit humaniste, il existe désormais un club où les bénéficiaires de la méthode peuvent se rencontrer et participer à des opérations visant à offrir aux plus démunis la possibilité d’avoir accès à cette merveilleuse découverte et à son application. Pour tous renseignements: www.atlasprofilax.com