la maladie n’est Pas une fatalité,
tout repose sur l’atlas
En première mondiale,
R.-C. Schümperli l’affirme et le prouve
Le phénomène ne manque pas de surprendre : la majorité des êtres hu-
mains est touchée par une mauvaise position de l’atlas, la première de nos
vertèbres cervicales. Selon R.-C. Schümperli, on est loin de l’approximation
et de nombreux témoignages et autres reconnaissances scientifiques le
confirment, même si, pour des raisons qui pourraient perturber certaines
pratiques ou conventions, elles ont peine à franchir le seuil des vérités
académiques. Pourtant une évidence s’impose, le déséquilibre de cette
vertèbre provoque un rétrécissement important du conduit réservé à la
moelle épinière, aux nerfs crâniens et aux sillons nerveux qui se trouvent
comprimés en permanence et qui, de ce fait, ne peuvent pas laisser circuler
librement et efficacement les flux et énergies auxquels ils sont destinés.
Parallèlement, les artères vertébrales ou autres, la carotide et d’autres
vaisseaux subissent une pression permanente qui limite, voire compromet
irrémédiablement leur fonctionnement idéal prévu par la nature. Nul n’est besoin d’être sorcier pour
comprendre que ce manque de disponibilité circulatoire peut provoquer une
altération dans l’accomplissement des
fonctions basiques qui, générées à partir
du cerveau, dirigent tout le fonctionnement
de l’organisme, tant sur le plan physique
que psychique. |
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Il aura fallu attendre 1993
pour que R.-C. Schümperli mette en valeur
cette évidence: «l’atlas déboîté est la cau-
se principale de la majorité des malaises et
maladies de nature psychique et physique
dont souffre l’humanité». Il l’affirme et
de nombreux témoignages le prouvent
par centaines de milliers en provenance
du monde entier: on peut maintenant y
remédier. Son livre La Libération, traduit
en de nombreuses langues, est en passe
de devenir un véritable best-seller.
Au départ, il y a eu le constat. Puis
un travail acharné pour découvrir
la méthode qui permettrait de remettre
dans sa bonne position cette vertèbre. Un
chemin de vie souvent douloureux pour le
découvreur. Il en est résulté une méthode
unique au monde sous le label AtlasPRO-
filax® qui se complète par un appareil
breveté permettant le repositionnement de l’atlas avec précision, sans danger et
définitivement, en une seule séance. Une
pratique strictement non médicale. Depuis
sa découverte, R.-C. Schümperli a dû faire
face, dans le monde entier, à de plus en
plus de demandes que ce soit au niveau
de l’application ou de la formation de
nouveaux utilisateurs de la méthode. Selon
son éthique personnelle, il n’a jamais été
question de banaliser la chose en laissant
la possibilité à n’importe qui de pratiquer
la méthode AtlasPROfilax® qu’il a mise
au point. C’est donc sous sa compétence
que sont formés et supervisés
en permanence les prati-
ciens porteurs de l’appellation
«AtlasProf® diplômé».
R.-C. Schümperli n’est pas un
gourou, ni un sorcier. Pas plus
qu’un professeur. Sa découverte et sa démarche visent
à une simple application tout
à fait naturelle qui ne relève
en rien de la médecine, sans
diagnostic, sans opération ni
prise de produits d’accom-
pagnement quelconque. Par
contre, il est hors de question pour lui que les praticiens de la méthode
s’écartent du concept de départ: «supprimer la cause primaire de la majorité des
maladies et souffrances. C’est le droit
de chacun de vivre avec l’atlas à sa
juste place, ce qui lui permet d’être en
bonne santé et de pouvoir fonctionner en
conformité avec les lois humaines qui nous
régissent.» Dès lors, les Atlasprofs® qui
exercent dans le monde sont soigneusement sélectionnés, formés et suivis sous
sa compétence. Autre aspect important
de la démarche, R.-C. Schümperli apporte
une importance toute particulière au fait
que le traitement doit être accessible à
chacun financièrement parlant.
L’histoire
d’une découverte
D ans son ouvrage La Libération, R.-C.
Schümperli explique la genèse de sa
découverte et le sens de sa démarche qui
se veut aussi humaniste, tout le monde
ayant droit au mieux être et à la santé.
D’autant que cela est possible désormais
sans contre indication particulière, par le
simple repositionnement de l’atlas. Tout
est parti de Sierre, en Valais / Suisse, où
il est établi et qui est le siège international
d’AtlasPROfilax® et de l’AtlasPROfilax Academy Switzerland® qui regroupe tous
les praticiens agréés répertoriés sur le site
www.atlasprofilax.com.
Ace jour, la méthode est appliquée dans
le monde entier et des centaines de
milliers de personnes en ont déjà bénéficié
sans qu’aucun dégât ne soit constaté qui
aurait pu faire l’objet d’une plainte péna-
lisée par la justice.
Certes, il y a ici une approche qui
peut être dérangeante pour les
tenants de la médecine traditionnelle.
Mais si, en définitive, cette dernière
n’était pas passée, par ignorance, à côté
d’une évidence purement physiologique?
R.-C. Schümperli ne se porte pas en
«concurrent» et souhaite, bien au contraire,
que les thérapeutes traditionnels appli-
quent sa méthode, comme c’est déjà le
cas dans de nombreux exemples. Il affirme
tout simplement qu’il existe une alternative
efficace et moins coûteuse au travers de
sa découverte. Même de grandes compa-
gnies d’assurances le rejoignent actuelle-
ment, conscientes de la réalité des faits
et des opportunités économiques dans le
domaine des coûts de la santé.
U ne compagnie d’assurances a conclu
un contrat collectif de responsa-
bilité civile avec tous les atlasprofs®
européens!
Une affaire
de professionnels
Le développement mondial de la métho-
de AtlasPROfilax® n’a évidemment pas
manqué de susciter l’intérêt de personnes
incompétentes ou mal intentionnées pré-
tendant pouvoir repositionner l’atlas en
utilisant des méthodes non adaptées ou
copiées de celles de R.-C. Schümperli. Il
en est résulté des interventions malheureuses, dangereuses ou dommageables.
Seuls les atlasprofs® diplômés, référencés
par l’AtlasPROfilax Academy Switzerland®
sont en mesure d’assurer une intervention
sans danger selon la méthode découverte
et mise au point par R.-C. Schümperli.
Attention danger: confier sa nuque ou
son atlas à une personne incompétente
peut se révéler catastrophique et, mal-
heureusement, des exemples existent à
cet égard. Une application à tous
les stades de la vie
I l serait utopique de penser que le repositionnement de l’atlas pourrait réparer
des maux irréversibles causés par l’usure
ou l’atrophie. Par contre, des résultats
probants ont été enregistrés s’agissant
de cas de fibromyalgie, d’Alzeimer ou de
Parkinson. Là encore, il s’agit de rétablir
le bon fonctionnement mécanique et
physiologique en rétablissant le couloir
obstrué ou comprimé par une mauvaise
position de l’atlas. Pas plus compliqué que
ça. Plus représentatif encore, il est attesté
qu’une future maman disposant d’un atlas
bien positionné donnera naissance à un
enfant présentant un atlas correctement
emboîté, apte dès lors à aborder la vie
dans les meilleurs conditions de santé et
d’équilibre.
L’avenir
En l’état actuel des choses, la vision est
claire: il faut absolument, selon R.-C.
Schümperli, que l’humanité tout entière
puisse bénéficier des bienfaits de la mé-
thode, chacun ayant le droit fondamental
à une existence en santé psychique et
physique. Dans ce sens, il est fait appel
aux thérapeutes afin qu’ils se forment à
l’application AtlasPROfilax® pour pouvoir
en faire bénéficier leurs patients. Dans
l’esprit humaniste, il existe désormais un
club où les bénéficiaires de la méthode
peuvent se rencontrer et participer à des
opérations visant à offrir aux plus démunis
la possibilité d’avoir accès à cette merveilleuse découverte et à son application.
Pour tous renseignements:
www.atlasprofilax.com
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