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 Historique des activités |
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11 juin 2008 L’aménagement du territoire Accueil par Madame Jacqueline Brodard, Députée et ouverture de la manifestation et présentation du déroulement par Madame Roselyne Crausaz modératrice du débat. Fribourg, sa démographie et l’aménagement du territoire, un défi à relever ? par Monsieur Georges Godel Conseiller d’Etat directeur du Département de l’Aménagement, des Constructions et de l’Environnement (DAEC). Table ronde Les contraintes et perspectives de l’aménagement du territoire avec Messieurs Serge Charrière, architecte, Henri Choffet, géomètre et syndic de Châtel-sur-Montsalvens, Jean-Marc Schaller, architecte de la Ville de Fribourg. Présentation de l’Entreprise G. Brodard & Fils SA, notre hôte du soir en compagnie de la Direction et des cadres. Ateliers découvertes, une formule originale qui a séduit les participants, par l’aspect technique et informatif. Une démonstration souple qui montre la polyvalence de la société et de son personnel. Apéritif-dînatoire dans la halle principale a été un moment fort. Les spécialités du terroir fribourgeois étaient à l’honneur. Les contacts et le réseautage ont été actifs jusqu’en fin de soirée ce qui montre bien que l’ambiance était chaleureuse. Tous les participants ont relevé la générosité de notre hôte et la qualité de la soirée. |
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| Revue de presse du 12 juin | ||
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AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE «Le défi actuel et à venir» L'aménagement du territoire a occupé le devant de la scène mardi soir, à La Roche, à l'occasion d'une table ronde. En charge de ce dossier, le conseiller d'Etat Georges Godel a donné son éclairage. Tendance. Après les énergies renouvelables et le réchauffement climatique, c'est l'aménagement du territoire qui semble désormais être sur toutes les lèvres. L'Iro mentor club – association qui réunit des inventeurs et des créateurs d'entreprises – ne s'est donc pas trompé en organisant une soirée autour de ce thème. C'était mardi soir, dans les murs de l'entreprise Brodard SA, à La Roche. Plus d'une centaine de personnes – politiques, entrepreneurs et commerçants – ont notamment pu entendre le point de vue de Georges Godel, directeur de l'Aménagement, de l'environnement et des constructions. STATISTIQUES Outre la croissance démographique quasi explosive du canton de Fribourg, d'autres chiffres sont aussi parlants: ceux de la construction. Entre 1982 et 1992, 4,82 mètres carrés par minute disparaissaient pour devenir du bâti. Entre 1992 et 2002, cet indice a baissé puisqu'il se situait à 3,23 mètres carrés par minute. AGGLOMÉRATION Pour lutter contre la disparition de cette terre agricole, Georges Godel souligne l'importance des fusions et le bien-fondé des agglomérations. «On doit développer des centres et ne pas éparpiller les infrastructures.» Telle est la ligne choisie par le Gouvernement, qui a défini des pôles de développement à l'échelle du canton et des régions. Et d'ajouter que le Conseil d'Etat soutient les deux projets d'agglo déposés à Berne. «On doit se battre pour les deux, c'est important.» BULLE ET SA ZONE D'ACTIVITÉ Une rencontre a récemment eu lieu entre le Conseil communal et le Gouvernement fribourgeois. Objectif: trouver des solutions au fait que Bulle ne dispose plus de terrain pour accueillir des entreprises (notre édition de mardi). «L'Etat possède 150'000 m2 essentiellement pour le remaniement parcellaire des exploitations agricoles lié à la H189. Mais aussi pour jouer un rôle dans le développement de cette région. Nous essayons de répondre à la demande de Bulle.» DÉVELOPPEMENT Selon le plan directeur cantonal, c'est sur les centres et les pôles de développement que doivent se concentrer les efforts. «C'est une erreur si d'autres communes veulent créer des zones industrielles.» PROBLÈME N°1 Pour le conseiller d'Etat, le souci majeur réside dans la thésaurisation des terres. Il espère que les nouvelles lois et réglementations pourront offrir les outils adéquats. «L'idée serait que les communes puissent mettre en place des clauses du type «si la zone n'est pas mise à disposition dans dix ans, la commune pourra alors l'acquérir pour un prix défini lors de la mise en zone». Et d'avouer: «On a été mauvais à l'époque, parce qu'on n'a pas imaginé ce problème.» Reste que, actuellement, beaucoup de communes peinent à trouver des solutions. Surtout si elles doivent revoir à la baisse leurs zones à bâtir en raison d'une fusion. POLITIQUE FONCIÈRE Le directeur de l'aménagement a souligné une volonté de mettre en place «une politique foncière active qui permette aux collectivités d'acquérir des terrains intéressants. Les problèmes sont plus faciles à régler lorsque les communes sont propriétaires.» SR - La Gruyère |
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